

À travers cette
exposition, le musée des Beaux-Arts de
Mulhouse offre la possibilité de partir à la
découverte de l’univers protéiforme de
Jacques de Loustal. Cet artisan de l’image
est à la fois artiste et illustrateur pour
la bande dessinée, la presse ou la
publicité. S’attachant à dépeindre la
diversité des directions que prend son
œuvre, l’exposition s’organise autour des
différentes thématiques qu’il a développées,
prétextes à autant d’atmosphères singulières
: l’Afrique, l’exotisme, le romantisme, la
musique, le roman noir et les États-Unis
sont tour à tour illustrés. Comme une
constellation, les cent cinquante dessins
originaux provenant de l’atelier de
l’artiste et les vingt pièces issues de
collections privées, ainsi que les dessins
d’illustration, les carnets de voyage et les
lithographies, reconstituent les diverses
ambiances que Jacques de Loustal se plaît à
traduire de façon personnelle, procurant à
son public le même sentiment d’aventure que
celui qui l’habite. L’exposition s’appuie
entre autres sur des extraits des albums
illustrés par l’artiste avec des planches et
des couvertures originales : Barney et la
note bleue, Kid Congo ou encore Amours
insolentes en font partie.
Irwina Marchal
http://www.artabsolument.com/fr/default/exhibition/detail/1632//Loustal-un-itineraire-en-bandes-dessinees.html
|
Le
dessinateur Loustal a croqué les paysages urbains de
Lorient, leurs atmosphères parfois pesantes mais
terriblement graphiques. Il expose jusqu'au 17
février à la galerie du Faouëdic.
Portrait
Jacques de Loustal à Lorient ? La galerie du
Faouëdic l'a fait. Le temps d'une escale baptisée
OEuvres graphiques, le célèbre auteur de BD délaisse
les cases pour les grands formats. C'est la 2 e fois
que la ville accueille Loustal cette année. Au
printemps, dans le cadre d'une expo collective, il
participait aux Itinéraires graphiques. En résidence
dans la foulée, il a commencé à travailler sur la
commande publique d'estampe, la 14 e du nom.
« La commande se limitait à la litho, détaille
l'illustrateur. Il y avait une seule contrainte : la
verticalité. J'y ai ajouté un côté anecdotique : la
présence du chien. C'est un peu récurrent dans mes
dessins ». L'estampe représente Kergroise et ses
silos. Tirée à cent exemplaires, elle est vendue 180
€.
« Comme des jeux de construction »
En bon voyageur, guidé par l'architecte Dominique
Richard, Loustal s'est laissé prendre par Lorient et
« ses lumières qui changent tout le temps ». Il est
allé au-delà de la simple commande de la ville en
captant à traits de fusain l'atmosphère du port de
commerce, de la BSM, de Port-Louis, du cimetière de
bateaux de Kerhervy. Le dessinateur est quand même
resté sur sa faim. « J'avais prévu de dessiner la
glacière. Et puis je n'ai pas eu le temps... »,
regrette-t-il.
« Au tant qu'architecte, je suis assez sensible aux
découpes dans le ciel, aux masses, aux atmosphères
engendrées par les environnements, poursuit le
dessinateur. J'aime les ports. Je savais que Lorient
était une ville pour moi ! Au même titre que
Cherbourg, qui m'a aussi inspiré ».
De ces lieux a priori austères, Loustal retient «
les formes architecturales originales. Ces grands
silos qui me rappellent les jeux de construction de
mon enfance. En plus, ça prend très bien la lumière.
Il y a une sorte de gigantisme de l'architecture
face à l'immensité de l'océan ».
L'expo OEuvres graphiques, si elle met en évidence
Lorient, aborde aussi les autres facettes de
l'artiste Loustal : l'auteur de BD (grâce à une
présentation de ses différents albums),
l'illustrateur (avec des dessins issus de ses
carnets de voyage ou de revues auxquelles il
collabore), le coloriste.
Loustal, OEuvres graphiques, du 14 décembre au 17
février, à la galerie du Faouëdic. Du mercredi au
dimanche de 14 h à 19 h. Entrée libre. Tél. : 02 97
02 22 57.
Catherine JAOUEN.
http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_--Je-savais-que-Lorient-etait-une-ville-pour-moi-_56121-avd-20121213-64198846_actuLocale.Htm
Bande
dessinée
Plongez dans le monde de Loustal

Mulhouse accueille une exposition consacrée
à l’univers de Loustal, amoureux de la
lumière et des notes qui parlent mieux que
ne le font ses semblables.
Bande dessinée
Plongez dans le monde de Loustal
Le monde de Loustal nous est familier.
Même si l’on n’est pas un bédéphile
intégriste, la patte de ce maître de
l’ambiance est connue. Ce diable d’artiste
ne dédaigne pas aller promener son œil du
côté de la pub, média parfait pour
rencontrer le grand public.
L’exposition mulhousienne est un moment
privilégié pour découvrir Loustal grâce à
150 dessins. À travers cet accrochage
prestigieux, la Ville sème un nouveau
petit caillou sur le chemin de son
ouverture à la BD. Et il n’y a pas
beaucoup d’artistes du IX e art
susceptibles de séduire autant les fans de
Tintin que les chantres de la peinture
contemporaine ou de la grande
illustration.
Le cap sur Saigon ou Valparaiso
Loustal est un magicien. Sa palette fait
jaillir des univers formidables. Les
amateurs de voyage auront l’impression
d’embarquer pour une croisière vers le
soleil. Les paquebots de l’artiste ont le
charme de ceux qui voguaient vers Saigon
ou Valparaiso avec leurs passagers en
fuite. Les textes sont réduits au minimum.
Il faut humer cet univers où l’on passe
sans heurt du sel marin aux ambiances
poisseuses de bouis-bouis sudistes.
L’œil s’égare ? L’oreille prend le dessus.
Déchiffrer Loustal, c’est entendre la voix
puissante d’un saxo ou les ronflements
d’un tambour. Lavilliers rencontre
Armstrong, quelque part entre Harlem et
Caracas.
À peine a-t-on le temps d’esquisser une
salsa que Loustal nous empoigne par la
main et nous ramène en France. Mais pas
n’importe où. Son truc, ce n’est pas le
bocage ou l’alpage bucolique. Loustal se
transforme en portier de boîte de nuit de
Pigalle. Attention, danger ! Les couleurs
de la nuit explosent. Tant pis si le rouge
du néon est trop vif pour être honnête. Le
sang a-t-il coulé ? Le bleu se répand en
notes de blues et le vert recherche
désespérément à prouver qu’il est porteur
d’espoir.
Le maître de l’éclat lumineux
La peinture de Loustal dévore tous les
arts. Ses personnages se fondent dans des
décors infinis, noyés de lumières.
Rembrandt fut le maître du clair-obscur.
Loustal est celui de l’éclat lumineux.
Donnez-lui un arc-en-ciel et il vous
faudra mettre des lunettes sous peine de
vous brûler la rétine.
En ces temps où le gris s’impose et noie
nos journées, Loustal est le remède qui
s’impose. À deux pas du marché de Noël de
Mulhouse, son univers réchauffe bien plus
que l’abus de vin chaud et ses épices ont
la magie des grands voyages que seuls nos
rêves peuvent encore fabriquer. À bien y
penser, il y a une autre dimension à
explorer dare-dare : c’est celle de
Loustal.
Y ALLER Loustal. Musée des Beaux-Arts de
Mulhouse, jusqu’au 20 janvier. Du mercredi
au lundi de 13 h à 18 h 30 (19 h en
décembre). Entrée gratuite.
le 07/12/2012 à 05:00 par Raymond Couraud
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Bande
dessinée
Plongez dans le monde de Loustal

Mulhouse accueille une exposition consacrée
à l’univers de Loustal, amoureux de la
lumière et des notes qui parlent mieux que
ne le font ses semblables.
Bande dessinée
Plongez dans le monde de Loustal
Le monde de Loustal nous est familier.
Même si l’on n’est pas un bédéphile
intégriste, la patte de ce maître de
l’ambiance est connue. Ce diable d’artiste
ne dédaigne pas aller promener son œil du
côté de la pub, média parfait pour
rencontrer le grand public.
L’exposition mulhousienne est un moment
privilégié pour découvrir Loustal grâce à
150 dessins. À travers cet accrochage
prestigieux, la Ville sème un nouveau
petit caillou sur le chemin de son
ouverture à la BD. Et il n’y a pas
beaucoup d’artistes du IX e art
susceptibles de séduire autant les fans de
Tintin que les chantres de la peinture
contemporaine ou de la grande
illustration.
Le cap sur Saigon ou Valparaiso
Loustal est un magicien. Sa palette fait
jaillir des univers formidables. Les
amateurs de voyage auront l’impression
d’embarquer pour une croisière vers le
soleil. Les paquebots de l’artiste ont le
charme de ceux qui voguaient vers Saigon
ou Valparaiso avec leurs passagers en
fuite. Les textes sont réduits au minimum.
Il faut humer cet univers où l’on passe
sans heurt du sel marin aux ambiances
poisseuses de bouis-bouis sudistes.
L’œil s’égare ? L’oreille prend le dessus.
Déchiffrer Loustal, c’est entendre la voix
puissante d’un saxo ou les ronflements
d’un tambour. Lavilliers rencontre
Armstrong, quelque part entre Harlem et
Caracas.
À peine a-t-on le temps d’esquisser une
salsa que Loustal nous empoigne par la
main et nous ramène en France. Mais pas
n’importe où. Son truc, ce n’est pas le
bocage ou l’alpage bucolique. Loustal se
transforme en portier de boîte de nuit de
Pigalle. Attention, danger ! Les couleurs
de la nuit explosent. Tant pis si le rouge
du néon est trop vif pour être honnête. Le
sang a-t-il coulé ? Le bleu se répand en
notes de blues et le vert recherche
désespérément à prouver qu’il est porteur
d’espoir.
Le maître de l’éclat lumineux
La peinture de Loustal dévore tous les
arts. Ses personnages se fondent dans des
décors infinis, noyés de lumières.
Rembrandt fut le maître du clair-obscur.
Loustal est celui de l’éclat lumineux.
Donnez-lui un arc-en-ciel et il vous
faudra mettre des lunettes sous peine de
vous brûler la rétine.
En ces temps où le gris s’impose et noie
nos journées, Loustal est le remède qui
s’impose. À deux pas du marché de Noël de
Mulhouse, son univers réchauffe bien plus
que l’abus de vin chaud et ses épices ont
la magie des grands voyages que seuls nos
rêves peuvent encore fabriquer. À bien y
penser, il y a une autre dimension à
explorer dare-dare : c’est celle de
Loustal.
Y ALLER Loustal. Musée des Beaux-Arts de
Mulhouse, jusqu’au 20 janvier. Du mercredi
au lundi de 13 h à 18 h 30 (19 h en
décembre). Entrée gratuite.
le 07/12/2012 à 05:00 par Raymond Couraud
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05
janvier 2013
LOUSTAL, Un itinéraire en bandes dessinées
Le Musée des Beaux-Arts de Mulhouse
invite, à l’occasion de sa programmation,
à un chaleureux voyage à travers les
ambiances dessinées et illustrées de
Jacques de Loustal. Après
Cherbourg-Octeville en 2008, Mulhouse est
la deuxième ville française à consacrer
une exposition personnelle à l’artiste.

Loustal, Autoportrait dans
l’atelier, encre de chine et aquarelle,
50×40 cm,
illustration pour Portraits sous influence,
ouvrage édité lors du festival de BD de
Solliès-Ville, 2011
« Loustal, un itinéraire en bandes
dessinées » est présentée jusqu'au 20
janvier 2013.
Organisée en autant de thématiques
(Afrique, Exotisme, Romantisme, Musique,
Roman noir et Etats-Unis) que de
directions empruntées par l’artiste,
l’exposition revient sur l’évolution de la
pratique artistique de Loustal en faisant
la part belle à son activité de
dessinateur de bandes dessinées et
d’illustrateur.
Cet « itinéraire en bandes dessinées »,
qui s’appuie sur 150 dessins originaux
provenant de l’atelier de l’artiste et une
vingtaine de pièces issues de collections
privées, présente sous forme de
constellation, un ensemble de couvertures
et de planches originales extraites d’une
sélection d’albums remarqués : Coeurs de
sable (1985), Barney et la note bleue
(1987), Mémoires avec dames (1989), Les
frères Adamov (1991), Un garçon romantique
(1994), Kid Congo (1997), White Sonya
(2000), Jolie mer de Chine (2002), Rien de
neuf à Fort Bongo (2004) et Amours
insolentes (2010).

Loustal, Portrait de famille, couverture
pour le Süddeutsche Zeitung n°51, encre et
aquarelle, 40x30cm, 1997
L’accrochage est complété par des dessins
d’illustrations de commandes (pour
l’édition, la presse et la publicité)
choisis pour la proximité des sujets et
des ambiances qu’ils entretiennent avec
les bandes dessinées exposées. Quelques
carnets de voyages et lithographies
viennent prolonger les univers d’un
artiste prolixe qui s’emploie à installer
dans son oeuvre des atmosphères
personnelles où le sentiment d’ailleurs se
lit à la façon d’une aventure.
Le commissariat de l’exposition est assuré
par Jean-Jacques Billing, collectionneur
de bandes dessinées et connaisseur averti
de l’oeuvre de Loustal.
Ses études d’architectes révèlent un coup
de crayon sûr, des lignes géométriques,
horizontales, verticales, des courbes
avantageuses et sensuelles, complétés par
moment par l’aquarelle, le fusain, pour
les touches d’ombre harmonieuses, un clin
d’œil à Hopper, mais aussi Hockney.
L’ensemble teinté d’humour, vaut le
déplacement. Personnellement je n’accroche
pas aux BD, mais ici, pas de bulles, le
texte complète harmonieusement les
illustrations, tout est dessiné et écrit,
ce qui en fait une œuvre littéraire.

Loustal, Elle court, elle court, la
chanson, dessin pour La Vie, édition
spécial Amour, encre,
fusain et aquarelle, 2011
« L’art de Loustal »
Textes et éléments rassemblés par
Jean-Jacques Billing, commissaire de
l’exposition
Jacques de Loustal débute à la fin des
années 1970 dans les revues Cyclone,
Rock’N’Folk (par l’entremise de Philippe
Paringuaux, alors rédacteur en chef de
Rock’n Folk), Metal hurlant puis (A
SUIVRE). Plus influencé par la peinture
(fauvisme, expressionnisme allemand, mais
aussi David Hockney, Hopper) et la
photographie que par la BD, son trait
n'est pas marqué par l'influence d'un «
Maître ». Mais Moebius, Druillet ainsi que
Bilal qui avaient fait exploser les codes
de la bande dessinée ouvraient grand la
porte à Loustal et à ses pratiques
graphiques. Il travaille particulièrement
sur le rapport entre le texte et l’image ,
entre ce qui est montré, ce qui est dit et
ce qui doit être décrypté.
« Quand on m'apporte une histoire à
raconter, je regarde toutes les
atmosphères et les ambiances qui peuvent
en découler, le style et le cadre général
beaucoup plus que
le fond ».
Dans ses bandes dessinées, l'importance de
l'illustration est prépondérante dans une
discipline qui laissait finalement peu de
liberté au graphisme pur.
« Le problème, c’est que les informations
données par le dessin doivent être lues de
la même manière que celles données par les
mots et cet exercice n’est pas habituel ».

Loustal, dessin pour la couverture de
New-York Miami 90, encre et aquarelle,
50x40 cm,
1990
L'absence des bulles laissant toute
liberté au dessin, le texte off apportant
une grande qualitélittéraire à l'histoire,
les deux degrés de lecture texte-image
font du travail de Loustal une oeuvre
entièrement originale et dénuée des
références habituelles aux dessinateurs de
bandes dessinées.
Retour chronologique sur l’itinéraire en
bandes dessinées de Loustal à travers une
sélection d’albums présents dans
l’exposition :
- New York Miami, 1980, éditions
Humanoïdes, scénario de Philippe Paringaux
- Coeurs de Sable, 1985, éditions
Casterman, scénario de Philippe Coeurs de
Sable, 1985, éditions Casterman, scénario
de Philippe Paringaux
- Barney et la note bleue, 1987, éditions
Casterman, scénario de Philippe Paringaux
- New York Miami 90, 1990, éditions
Humanoïdes, scénario de Philippe Paringaux
- Les Frères Adamov, 1991, éditions
Casterman, scénario de Jérôme Charyn- Un
Garçon Romantique, 1994, éditions
Casterman, scénario de Philippe Paringaux
- Kid Congo, 1997, éditions Casterman,
scénario de Philippe Paringaux
- White Sonya, 2000, éditions Casterman,
scénario de Jérôme Charyn
- Jolie Mer de Chine, 2002, éditions
Casterman, scénario de Jean-Luc Coatalem
- Rien de Neuf à Fort Bongo, 2004,
éditions Casterman, scénario de
Jean-Luc Coatalem
- Les Amours Insolentes, 2010, éditions
Casterman, scénario de Tonino Benacquista

Loustal, Retour à Nuku-Hiva, dessin de
commande pour la Galerie Desbois, encre et
aquarelle, 40x50 cm, Paris, 2003
La découverte de l’exposition se poursuit
par un ensemble de rendez-vous culturels.
Visites-guidées
Dimanche 20 janvier 2013 à 15h
Jean-Jacques Billing, collectionneur et
commissaire de l’exposition propose de
faire partager au
public sa connaissance et sa passion de
l’oeuvre de Jacques de Loustal en invitant
à un voyage
dans l’exposition à la découverte d’un
itinéraire artistique en bandes dessinées…
Concert
Vendredi 18 janvier 2013 à 20h
Dans le cadre de ses « Vendredis au musée
», l’ensemble baroque Antichi Strumenti,
dirigé par Laura Toffetti et Tobia Bonz,
propose de mettre en musique les univers
chamarrés du dessinateur Jacques de
Loustal à travers un concert de musique
ancienne écrit en regard des oeuvres
présentées
dans l’exposition.
Jeune public
Mercredi 9 et 16 janvier de 15h à 17h pour
les enfants de 8 à 12 ans (10 places
disponibles)
Samedi 12 et 19 janvier de 15h à 17h pour
les familles (enfants à partir de 8 ans
accompagnés de
leurs parents – 10 places disponibles)
Jean-Charles Andrieu de Lévis, jeune
artiste diplômé en illustration de la
Haute Ecole des Arts du
Rhin, propose quatre séances « jeune
public » de découverte des dessins
d’illustration et des bandes dessinées de
Loustal et de pratique d’une activité
graphique fondée sur l’expérience de la
couleur et de la narration.
Réservation conseillée au 03.89.33.78.11
renseignements au 03.69.77.77.90.
Musée des Beaux-Arts de Mulhouse
7 Place Guillaume Tell
68100 MULHOUSE
Tél : 03.89.33.78.11
Mail : musees@mulhouse-alsace.fr
Site web : http://www.musees-mulhouse.fr/
Ouvert du mercredi au lundi de 13h à 18h30
(19h en décembre)
Matins réservés aux groupes scolaires
Fermé les mardis et jours fériés
Entrée gratuite
texte et photos courtoisie du musée des
Beaux Arts de Mulhouse
http://elisabeth.blog.lemonde.fr/2013/01/05/loustal-un-itineraire-en-bandes-dessinees/
|

Carton d'invitation
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