
2009 "BULLES & BALLES" LE TENNIS EN
BANDE DESSINÉE"
Affiche: Loustal


Dossier de Press BD-Tennis. pdf
10 juin 2009 t-31 décembre 2009
18 / 05 / 2009
Bulles & Balles 2009, le tennis en bande dessinée
Une exposition tout public, ludique et en trois dimensions explore l’univers
du tennis, vu à travers l’œil et la plume de grands auteurs de bande
dessinée.
Les exemples d’unions heureuses entre le 9e art et le tennis sont nombreux.
Les deux disciplines partagent plusieurs points communs : la solitude du
joueur sur le court, semblable à celle de l’auteur à sa table à dessin, de
même que tout ce qu’il faut de discipline, de travail et d’efforts pour
parvenir à la maîtrise du geste, de la technique, qu’ils soient graphiques
ou sportifs. Tout comme le parcours d’un grand champion, le récit d’une
aventure en bande dessinée peut être une réelle épopée.
Alors, quoi de plus naturel que de se retrouver en plein cœur du central et
éviter de justesse un passing shot de Snoopy face à Gaston?...ou de croiser
Babar, Bécassine, Pif, et bien d’autres lors d’un tournoi de Grand Chelem ?
Créée en collaboration avec le Centre Belge de la Bande dessinée, « Bulles
et Balles, le tennis en bande dessinée » réunit pour la première fois ces
deux univers autour d’une grande exposition dans le cadre exceptionnel du
Tenniseum de Roland-Garros.
Genre populaire, reflet de l’évolution d’une discipline sportive ou témoin
des aspirations d’une époque, le "tennis en bandes dessinée" constitue en
lui-même une aventure narrative à part entière.
Des frontières de l’image fixe à celles du dessin animé, l’exposition
"Bulles & Balles 2009", en partenariat avec le Centre Belge de la Bande
dessinée, rend compte de cette approche inédite :
- Coincez la bulle ! À partir du 10 juin prochain, le tennis se décline en
bande dessinée au musée de Roland Garros. De l’histoire aux règles du jeu,
de l’entraînement à l’épopée des champions, les bulles se mettent au service
de la balle blanche ou jaune (et réciproquement !)
- Des "contre points", viennent éclairer le rôle réservé au tennis dans la
bande dessinée franco-belge, mais également présente tant dans le Comics
américain que dans le Manga japonais. De Raymond Reding à Will Eisner, de
Charles Schulz à Takeshi Konomi, l’art des maîtres du "tennis en bande
dessiné" s’affiche désormais à Roland Garros…
- Des "espaces" vous réservent également quelques surprises dont : "le
supplice de la planche" pour les dessinateurs, sur laquelle par la magie
d’une projection, un dessin nait sous nos yeux; un détail du "Rendez-vous de
Sevenhoaks" l’univers du Royal Club-House qui tient lieu de décor aux
interviews de ses créateurs Floc’h et Rivière; un lieu où le dessinateur
André Chéret qui fête les 40 ans de son personnage "Rahan", raconte son
expérience originale autour de l’album "Il était une fois… Yannick Noah"
réalisé il y a 25 ans ; ou encore l’endroit idéal pour dévorer une
collection d’albums de "tennis en B.D".
- Enfin, vous choisirez l’un des 16 personnages de BD, de Babar à Spider-man,
pour participer à un vaste "Tournoi des Héros".
En provenance des quatre coins du globe, des planches originales ponctuent
votre visite, offrant aux regards une incroyable variété d’interprétations
graphiques du jeu. Des rencontres et des séances de dédicaces achèvent de
faire de "Bulles & Balles 2009", une exposition à ne rater sous aucun
prétexte...
http://www.fft.fr/site-tenniseum/
|

LOUSTAL
BRAFA 2011
UNE PARTIE DE TENNIS
Aquarelle sur papier
24*39
3500 euro
http://www.petitspapiers.be/index.php?action=art&artistId=118&serie=Brafa
Encre de Chine, aquarelle de couleur et pierre noire pour
l'affiche et la couverture du catalogue de l'exposition « Bulles
& Balles 2009, le tennis en bande dessinée » au musée de
Roland-Garros, de juin à décembre 2009. Signée. 39,5 x 27 cm.
Encadrée.

Bulles et balles le tennis en bande
dessinée - Catalogue exposition - LOUSTAL
Catalogue de l'exposition 2009 - Dessin
de couverture Loustal -

CARTE D'INVITATION EXPOSITION TENNISEUM FFT ROLAND GARROS
2009
21 X 15 cm

Jacques de Loustal, filmé en pleine action

http://www.actuabd.com/Retour-gagnant-de-la-BD-a-Roland-Garros

Les exemples d’unions heureuses entre le 9e art et
le tennis sont nombreux. Les deux disciplines partagent
ainsi plusieurs points communs : la solitude du joueur
sur le court, semblable à celle de l’auteur à sa table à
dessin, de même que tout ce
qu’il faut de discipline, de travail et d’efforts pour
parvenir à la maîtrise du geste, de la technique, tant
au niveau graphique que sportif. Tout comme le parcours
d’un grand champion, le récit d’une aventure en bande
dessinée peut être une réelle
épopée.
Alors, quoi de plus naturel que de se retrouver
en plein coeur du Central, et éviter de justesse un
passing-shot de Snoopy affrontant Gaston, ou encore de
croiser Babar, Bécassine, Pif, et bien d’autres lors
d’un tournoi du Grand Chelem? |

De renommée
internationale, à la fois auteur de bande dessinée,
illustrateur, peintre, photographe, architecte, mais
aussi grand passionné de tennis, Jacques de Loustal
a réalisé l’affiche de « Bulles et balles, le tennis
en bande
dessinée ». Entretien.
L’univers du tennis est présent dans votre oeuvre,
comme dans Clichés d’amour et Coeurs de sable, sur
des scénarii de Philippe Paringaux. En quoi ce sport
est-il « loustalien » ?
Jacques de Loustal : À chaque fois, le tennis est
utilisé comme un élément romanesque, un élément du
décor de l’histoire qu’on est en train de lire.
Clichés d’amour, c’est une histoire de
gigolos, de grands hôtels, etc., et il y a toute une
atmosphère autour du tennis. Pour Coeurs de sable,
l’héroïne est une joueuse américaine qui vient
disputer des tournois au Maroc, avec tout
l’imaginaire que cela peut suggérer : l’aura du
tennis des années 30, Suzanne Lenglen « La Divine »,
qui vient se mêler à l’univers du cinéma, ses stars,
Greta Garbo, et aussi, à travers ce sport un peu
élitiste, des décors : la terre battue, toute
l’architecture des clubs, le côté « jardin » du
tennis auquel je suis sensible. C’est un peu comme
cela que j’utilise le tennis, comme un élément de
décor.
Vous avez accepté de dessiner l’affiche de
l’exposition « Bulles et balles, le tennis en bande
dessinée ». Quelle a été votre motivation dans cette
expérience artistico-sportive ?
 |
Jacques de Loustal : J’avais un très bon
souvenir du travail réalisé pour le Livre officiel
de Roland-Garros 2004. Étant moi-même joueur, j’aime
tout ce qui concerne le tennis. J’ai donc accueilli
favorablement la demande de la FFT. Pour cette
affiche, j’avais donné une dizaine de directions qui
traduisaient ce concept de « bulles et balles ».
Finalement, je me suis rendu compte que la
Fédération Française de Tennis préférait une image
plus séduisante. Le fait que je la signe induisait
le côté tennis et bande dessinée, et du coup on
pouvait aller plus vers un visuel qui semblerait
comme extrait de mes bandes dessinées. Je me suis
alors immergé dans l’imagerie tennistique, telle que
Monte-Carlo ou les stations thermales l’ont
véhiculée dans les années 30, avec ce côté dandy,
tennis et élégance. Une illustration, c’est un
moment figé. À partir du moment où tu dessines un
couple, tu te demandes toujours quelles sont leurs
relations, ce qui va se passer. C’est toujours comme
cela que je conçois mes images : un moment au milieu
d’une histoire.
Enfin, en quoi le tennis est-il nécessaire, sinon
indispensable, voire complémentaire à votre activité
?
J. de L. : Je ne dirais pas qu’il qu’auparavant,
mais l’alliance du ludique, du dialogue, de
l’échange et de l’espace me plaît. Quand on joue, on
a un espace autour de soi. J’ai toujours beaucoup
aimé ça, surtout quand j’étais architecte au Maroc,
en coopération. Je passais un temps fou au club, sur
des courts en terre battue, près de l’océan, c’était
formidable. Je ne suis pas un fan de compétition, où
tu affrontes des gens que tu ne connais pas, qui
essaient surtout de te faire mal jouer pour pouvoir
gagner. Ce qui me plaît, c’est cette proximité avec
le ballet, le duel. Je tape parfois est
complémentaire ni nécessaire, car je joue un peu
moins la balle avec de grands joueurs, avec mon
niveau qui sera toujours nettement inférieur au
leur. Je sais que je ne gagnerai jamais, mais cela
n’a pas d’importance. Ce qui compte, ce sont tous
ces gestes totalement accomplis, quand on est bien
dans la balle. De grands plaisirs que tu ne trouves
dans aucun autre sport. |


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Communiqué de presse
Le Tenniseum, musée de Roland-Garros présente à
partir du 10 juin 2009
Une exposition tout public, ludique et en trois
dimensions explore l’univers du tennis, vu à travers
l’oeil et la plume de grands auteurs de bande
dessinée.
Les
exemples d’unions heureuses entre le 9e art et le
tennis sont nombreux. Les deux disciplines partagent
plusieurs points communs : la solitude du joueur sur
le court, semblable à celle de l’auteur à sa table à
dessin, de même que tout ce qu’il faut de
discipline, de travail et d’efforts pour parvenir à
la maîtrise du geste, de la technique, qu’ils soient
graphiques ou sportifs. Tout comme le parcours d’un
grand champion, le récit d’une aventure en bande
dessinée peut être une réelle épopée.
Alors, quoi de plus naturel que de se retrouver en
plein coeur du central et éviter de justesse un
passing shot de Snoopy face à Gaston?...ou de
croiser Babar, Bécassine, Pif, et bien d’autres lors
d’un tournoi de Grand Chelem ?
Créée en collaboration
avec le Centre Belge de la Bande dessinée, « Bulles
et Balles, le tennis en bande dessinée » réunit pour
la première fois ces deux univers autour d’une
grande exposition dans le cadre exceptionnel du
Tenniseum de Roland-Garros.
Installée sur 800 m2. la scénographie de
l’exposition en forme de court de tennis entraîne
les visiteurs à la découverte de la
discipline sportive, depuis ses origines jusqu’à nos
jours.

En franchissant l’entrée du court, le visiteur
apprendra de quelle façon la bande dessinée a
contribué à populariser la pratique du tennis avec
Jari et Jimmy Torrent - héros incontestables du
Journal de Tintin dans les années 60 - jusqu’à
l’improbable Chat de Philipe Geluck.
Ainsi commence le parcours de l’exposition divisée
en huit espaces thématiques distincts, permettant
une exploration approfondie de l’univers du tennis,
vu à travers les bandes dessinées et les auteurs les
plus représentatifs des grands courants. La ligne
claire, le manga, les comics, tous les styles
conjuguent l’art du tennis à leur façon mais une
constante demeure, sa représentation est toujours
solidement ancrée dans la réalité. À travers «
Bulles et Balles » raquettes de tennis, plumes et
crayons parlent le même langage, celui du travail,
de l’effort, de l’endurance et de la ténacité,
qualités indispensables tant aux héros qu’aux
dessinateurs.
Tous les thèmes abordés lors du parcours sont
richement documentés et illustrés de planches
intégrales de bandes dessinées, de cases et de
croquis ; mais aussi de dessins originaux tels
Charles Schulz, Raymond Reding, André Juillard, Jean
Graton, André Chéret et bien d’autres.
Afin de mieux souligner la forte affinité qui unit
la bande dessinée et le tennis, six autres
installations et espaces répartis autour du court
complètent le parcours :

- Le Rendez-vous de Sevenhoaks de Floc’h et Rivière
Une rencontre avec les deux auteurs retransmise sur
un écran télé des années 50 ; tout autour le décor
est posé, le public entre directement à l’intérieur
d’une planche de l’album qui justement situe
l’intrigue sur un court de tennis.
- L’espace du «supplice de la planche » Projections
de dessins en cours de réalisation, exécutés par des
illustrateurs de renom, tels que Juillard ou
Loustal. La magie de la création se dévoile sous le
regard du public. Une vraie performance
artistico-tennistique
-
L’espace « De Rahan à Noah : André Chéret »
Retour sur l’album Il était une fois… Yannick Noah
d’André Chéret autour d’entretiens filmés de
l’auteur et du champion. Mais aussi clin d’oeil du
créateur pour les 40 ans de son héros le mythique
Rahan.
-
L’espace Jimmy Torrent Quand la fiction dépasse la
réalité et vice-versa…Héro du Journal du Tintin,
Jimmy Torrent remporte trois fois les Championnats
Internationaux de France de Roland-Garros : en 1956,
1957 et 1958. Ce britannique auparavant inconnu du
grand public fut également vainqueur à Wimbledon en
1957. Mais a-t-il vraiment existé ? Un film se lance
à la recherche du champion imaginaire.
- Le « Tournoi des Héros
»
Dans la lignée des grands matchs légendaires de
Roland –Garros, le public assiste ici en direct à un
tournoi mettant aux prises les plus dignes
représentants du tennis en bande dessinée.
-
Espace de lecture autour d’un encrier géant
Consultations de tous les albums présentés au cours
de l’exposition. La visite ne peut s’achever sans un
coup d’oeil indiscret dans les vestiaires.
Transformés pour l’occasion en six espaces
d’exposition, ils apportent un angle de vue
complémentaire des thèmes abordés sur le court :
« C’est quoi une bande dessinée ? »
Bien plus qu’une simple succession de dessins, la
bande dessinée est un récit visuel dont la création
s’articule autour de quatre étapes décisives, le
public assiste à la naissance d’une bande dessinée.
La bande dessinée au fil du siècle, de Little Nemo à
Babar Clins d’oeil et curiosités historiques, dont
l’amusante stupeur à la vue du gigantesque pantalon
de sport du plus célèbre de tous les pachydermes.
C’est de la plume de Winsor Mac Cay qu’est apparu le
premier grand personnage de bande dessiné possédant
une raquette… Little Nemo Raymond Reding, des sets à
77 ans Avec Jimmy Torrent et Jari, Raymond Reding
est incontestablement l’auteur de l’école
franco-belge le plus emblématique du tennis en bande
dessinée.
Tennis et comics
« Je n’ai pas inventé la double faute, je l’ai
perfectionnée » dixit Snoopy le célèbre tennis dog.
Un document inédit de Charles Schulz, créateur de
Snoopy, en plein travail… De Wil Eisner à Stan Lee
les plus grands auteurs de comics maîtrisent aussi
bien la raquette que la plume.
Tennis
et manga
Le Prince du tennis de Takeshi Konomi, Briser la
case, dilater le temps, accentuer les effets,
pousser plus avant le mouvement… Le manga et ses
codes répondent avec justesse à la tension d’un
match, au rythme des échanges, à la diversité des
coups du tennis. Cette oeuvre incontournable reflète
à elle seule la grande popularité et la vitalité du
tennis en bande dessinée.
Tennis et bande dessinée aujourd’hui, de Guarnido à
Chabouté
Avec de nouvelles approches graphiques, le 9e art a
de belles années devant lui. Depuis plusieurs
décennies, il a su séduire et fidéliser un public de
plus en plus large. Parions que le tennis en bande
dessinée plus particulièrement -continuera de
produire du rêve et de l’émotion à l’état pur pour
tous et longtemps encore.
L’exposition « Bulles et Balles », l’invitation à un
voyage inoubliable au coeur de deux univers fabuleux
exceptionnellement réunis : le tennis et la bande
dessinée…. Àne rater sous aucun prétexte.
Le Tenniseum, musée de Roland-Garros est le premier
musée multimédia du tennis Sur 2 200 m2 il abrite :
La salle d’exposition permanente constitue un espace
multimédia (bilingue) qui offre aux visiteurs la
possibilité de consulter, sur une vingtaine d’écrans
plasma, près de 4 000 heures de programmes - Deux
salles d’expositions thématiques dont une de plus de
800 m2 présentent chaque année un programme
d’événements sur le thème du tennis, de l’art, ou
encore de la photographie sportive. Ces expositions
contribuent, par leur contenu et leur approche
pédagogique, à la promotion du tennis en France, et
au rayonnement des Internationaux de France.
- Une médiathèque propose plus de 3 000 documents
imprimés, est un lieu exceptionnel d’informations
sur le tennis et le jeu de paume.
Dossier de Press BD-Tennis. pdf
Informations
Pratiques
Le Tenniseum, musée de Roland-Garros
Stade Roland-Garros
2, avenue Gordon-Bennett - 75016 Paris
Tél. : 01 47 43 48 48
Accès : Métro Porte d’Auteuil - ligne 10
Horaires & jours d’ouverture
Mercredi, vendredi, samedi & dimanche de 10h à 18h.
Du mardi au dimanche de 10h à 18h pendant les
vacances scolaires de
la zone C.
Tarifs
Tarif individuel : 7,50 €
Tarif enfant -18 ans : 4 €
Tarif licencié FFT : 3 €
Tarif de groupe (+ de 10 personnes) : sur demande
Visite du Tenniseum +visite guidée des coulisses du
stade :15€
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