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2004  ST'ART 2004

la Galerie Nicole Buck propose du 27 février au 27 mars 2004
les oeuvres de François Avril, Louis Joos, Jacques de Loustal, Lorenzo Mattotti, Tony Soulié...
La galerie est ouverte du mardi au samedi de 14 h 30 à 19 h 30
et sur rendez-vous.


Galerie Nicole Buck - 4, rue des Orfèvres - 67000 Strasbourg 
Tél./Fax 03 88 22 63 09

Dans la continuité

L'une des oeuvres à voir à la galerie.(-)
Après St'Art 2004, Nicole Buck a reconstitué dans sa galerie l'exposition présentée dans son stand.

Les oeuvres de deux peintres et de six illustrateurs étaient uniquement en rouge et noir. Les sculptures en acier forgé que Dominique Labauvie a réalisées dans les Vosges sont en harmonie avec elles, par leur force de suggestion étonnante.
Sous les mêmes couleurs, mais d'esprit différent, Vladimir Velickovic et Tony Soulié s'affrontent, l'un, un peu moins tragique quand il épaissit la matière aux tons de sable, l'autre, inspiré par la fleur et certain coquillage quelque peu amulette. La galeriste, désireuse de combler le fossé qui existe entre peinture et illustration, a aussi proposé aux dessinateurs le seul emploi du rouge et du noir et tous y ont trouvé leur compte.
François Avril, à l'encre et au fusain, crée des images de New York très stylisées. Vincent Fortemps travaille au crayon lithographique sur Rhodoïd et cherche à sortir l'illustration du livre où on l'enferme. Il la fera participer à un prochain spectacle du TNS « Chantier Musil ». Louis Joos a déjà eu une exposition personnelle dans la galerie et l'on retrouve les dessins à l'encre, à l'acrylique et au pastel de son « Baudelaire ».
Jacques de Loustal s'étonnant « de voir combien les gens sont casaniers dans ce métier », a toujours « ce goût d'aller voir ailleurs ». De nombreux paysages urbains et ruraux, au fusain, en témoignent. Un beau catalogue est présenté. Les grands formats de Lorenzo Mattotti déclinent les ombres et les lumières d'une scène ludique par un cadrage cinématographique. Quant à Thierry Van Hasselt, il travaille à l'encre sur Rhodoïd, par effacement du trait, et ce sont les mouvements d'une danseuse qui l'inspirent.