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2013 Suite Marocaine
Tito Topin

Couverture: Jacques de Loustal

http://www.titotopin-suitemarocaine.com

http://titotopin.com/

 

La présente édition propose neuf textes de Tito Topin au Maroc.
Neuf voyages en lumière noire et en couleurs.
Trois récits autobiographiques.
Trois nouvelles.
Trois romans.
Trois coups de théâtre pour une pièce en trois actes :

Après les récits autobiographiques d’enfance et d’adolescence, (Une femme d’une étourdissante beauté, Le jinome de Casablanca, Cargos…), place aux sombres fictions où l’Histoire et la politique poissent les destins adultes (Le chèque et Une fille, une bouteille, nouvelles sur lesquels règnent l’arnaque, la duperie, la trahison, la corruption et le marché… forcément noir, autant d’ingrédients annonciateurs d’apocalypse qui construisent les enquêtes policières : 55 de fièvre, qui se déroule en 1955, et Piano Barjo en 56, année de l’indépendance). En troisième acte, scènes de ménage sanctionnées, divorce prononcé, deux récits d’une noirceur sans lune qui conjuguent un passé recomposé et un présent décomposé.

Lors d'une rencontre à l'ambassade du Maroc à Paris dans le cadre des "Mercredis de l'Ambassade", en présence de l'ancienne Premier ministre française Edith Cresson, et de plusieurs personnalités du monde des arts et de la culture, l'écrivain a présenté "Suite Marocaine". L'ouvrage obéit à trois unités: unité du lieu (Le Maroc), unité du temps (la fin des années 1950) et unité d'action (le polar).
Il présente un équilibre des formes narratives: de l'autofiction à la dure fiction du futur, du plan court au travelling, du gros plan au panoramique. "Equilibre d'un itinéraire filant de la Méditerranée vers les mers de sable là où le soleil cogne plus droit".
L'œuvre Suite M.jpgqui commence à Berkane, "à deux clics de souris de la frontière algérienne", se termine par neuf histoires plus tard dans une dune de l'outre-sud.
Après les récits autobiographiques d'enfance et d'adolescence, (Une femme d'une étourdissante beauté, Le jinome de Casablanca, Cargos...), place aux sombres fictions où l'Histoire et la politique poissent les destins adultes (Le chèque et Une fille, une bouteille, nouvelles sur lesquels règnent l'arnaque, la duperie, la trahison, la corruption et le marché... forcément noir, autant d'ingrédients annonciateurs d'apocalypse qui construisent les enquêtes policières : 55 de fièvre, qui se déroule en 1955, et Piano Barjo en 56, année de l'indépendance, qui devait s'intituler 56 à l'ombre).
En troisième acte, scènes de ménage sanctionnées, divorce prononcé, deux récits d'une noirceur sans lune qui conjuguent un passé recomposé et un présent décomposé.

La rencontre était jalonnée par une lecture d'extraits du livre par les comédiens Valérie Mairesse, Christian Rauth, Nicole Calfan, et Chantal Pelletier.

Entre les extraits, M. Topin a fait un exposé de son itinéraire de dessinateur, de scénariste, d'écrivain. Pour sa part, le producteur Pierre Grimblat a évoqué sa collaboration avec Tito Topin notamment sur la série Navarro créée par ce dernier en 1989. (Agence Marocaine de Presse).

 


 

 

 

 ill. V comme engeance